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Novembre à Paris, le mois de la photo

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Pierrot Men expose du 6 au 23 novembre à PhotoSaintGermain

Le parcours photo de la rive gauche

 

Après sa présence remarquée fin 2018 lors de l’exposition au Musée du quai Branly-Jacques Chirac à Paris, Pierrot Men revient à Paris du 6 au 23 novembre pour la 8e édition de PhotoSaintGermain. Retenu par un jury composé d’experts de la photographie, il exposera 20 de ses photographies à la Galerie Lee, à Saint Germain des Prés. Saint Germain des Prés, quartier des artistes, écrivains, musiciens, chanteurs, souvenez-vous Jérôme Randria dans « Alina Paris » nous parlait déjà de Saint Germain…

 

Ce seront près de 20 000 personnes qui, au travers d’un parcours d’institutions, galeries, centres culturels, hôtel et librairies, vont découvrir ou redécouvrir l’oeuvre de Pierrot Men. Un public composé d’amateurs, de collectionneurs, de commissaires d’exposition, d’artistes, de critiques d’art ou de responsables d’institutions publiques et privées.

 

L’événement s’inscrit dans les mêmes dates que sont le Salon de la photo et Paris Photo et qui consacre Paris capitale mondiale de la photographie, avec près de 120 000 personnes en 2018.

 

« Infiniment sensible et poétique, l’œuvre de Pierrot Men est polymorphe », nous dit Jean-Marc Tingaud, directeur artistique de l’exposition.

 

« …Même s’il a fait de rares escapades dans des territoires lointains, au Maghreb et en Europe par exemple, il est avant tout l’observateur, le chroniqueur, le chantre aussi de son île-continent : Madagascar. Son attachement pour cette terre, l’amour que l’on devine infini pour son peuple, éclatent dans chacune de ses images et font de chacune d’elles une pépite de tendresse et de poésie dans une inestimable et pudique retenue.

Mais au-delà, lorsqu’on regarde par exemple ce portrait de dos de « l’homme aux bananes », les frontières, les limites, les références volent en éclat et une simple image, posée dans sa fragilité à la surface sensible d’un film photographique nous sidère de toute sa puissance.

Et nous voilà, sans coup férir, projetés dans l’universelle et intemporelle beauté du monde… »